Dans plusieurs de mes messages, j'ai montré, avec des nuances certes, notamment sur le respect des délais, les qualités des artisans, des artistes ou encore des constructeurs marocains que j'ai sélectionnés. J'ai par exemple montré l'originalité de travaux sur bois, la qualité artistique qu'on peut dégoter ailleurs que dans les pièges à touristes à la sortie du premier hôtel venu ou encore la réalisation de principes écologiques visant à mettre le pisé en première ligne, la concrétisation de mon projet architectural et d'idées de déco.
Je peux donc me permettre d'exposer ici le petit parcours du combattant que j'ai à effectuer en relation avec la cheminée dont je suis en train d'essayer de doter le salon central de la villa, nommé salon Atlas. J'ai dessiné depuis belle lurette ce que je voulais. Résultat : un premier aménagement très éloigné de mes voeux, bien que j'aie distribué force photocopies : la cheminée ressemblait à un petit tunnel pour y chauffer ses pieds. Le second (photos) me fait penser à une porte de communication. Comme s'il fallait pénétrer debout dans l'âtre... Je m'étais pourtant évertué à marquer, sur place, la hauteur maximale du manteau, sur laquelle j'aimerais poser quelques objets emblématiques. Peine perdue : la voici qui se retrouve un demi-mètre au-dessus du point prévu.
Nous allons donc remettre l'ouvrage sur le métier : rabaisser la partie supérieure du manteau, diminuer la surface de l'âtre et aménager le fond du foyer.

Autre sujet non pas d'agacement (ce n'est pas une bonne attitude à adopter au Maroc), mais de préoccupation : l'attente dans laquelle je me trouve toujours de l'arrivée du logo du Jardin aux Etoiles à apposer dans la piscine, dont le reste de la mosaïque est maintenant posé. La transmission de la version numérisée du logo à l'entreprise Watec remonte pourtant au tout début du mois de décembre dernier.
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